- COL MARY FIELDS -
Un accessoire puissant et expressif, pensé pour sublimer ta tenue d'une touche affirmée. Inspiré des grandes figures oubliées de l'Ouest, Mary Fields est un hommage textile à celleux qui se sont frayé.es un chemin à contre-courant.
Parfait pour composer une tenue alternative, sombre et singulière, à la touche western goth.
Disponible en pré-commande dés maintenant!
Toutes les photos de la collections PIONNIERS DE L’OMBRE ont été faite par ©AnthonyLegris
MARY FIELDS
HISTOIRE DE LA COLLECTION
DESCRIPTION
ENTRETIEN
MES ENGAGEMENTS
HOMMAGE A...
Le soleil brûle l'horizon. La poussière danse sous les sabots des chevaux, soulevant des cendres d'un passé trop lourd. Ici, dans ces terres arides, l'Histoire s'est écrite à coups de balles et de silences. L'Ouest n'a jamais appartenu qu'aux puissants. Il a été conquis, pris de force, et ceux qui ne rentraient pas dans le moule ont été laissés pour morts.
Mais à l'abri des regards, au détour d'un canyon oublié des cartes, un lieu s'est bâti. Un sanctuaire où l'on peut enfin exister. Un dernier refuge pour celles et ceux qui ont été chassé·es, traqué·es, pour celleux qui refusent de disparaître dans l'ombre.
Ici, on trouve des cavaliers à la peau marqués par la poussière et le temps, des exilés aux regards fiers, des âmes que l'on a voulu réduire au silence, mais qui chantent encore sous la lune. Ils présagent le noir du deuil et du combat, mais aussi le blanc de la lumière qu'ils présagent en eux – celle que le monde a voulu éteindre.
Mais ce refuge n'est pas à l'abri du monde. Un vent de révolte souffle sur l'Ouest. Faut-il fuir encore, ou se dresser contre l'orage ?
Alors, lentement, quelque chose a changé. On ne baisse plus les yeux. Les voix s'élèvent, les silences se brisent. Ce qui était un refuge devient un campement, puis un village, puis une ville. Les ombres n'ont pas disparu, mais elles ne sont plus seules.
Loin d'être un dernier refuge, ce lieu devient un premier pas. Un endroit où l'on n'a plus à courir, où l'on peut poser ses armes et exister.
Car l'Ouest appartient à celles et à ceux qui le façonnent.
Et dans la poussière dorée du matin, une chose devient claire : le monde peut être réinventé.