- POIGNETS DATURA-
Les poignets Datura prennent leur envol dans l’obscurité, dessinant la silhouette d’une chauve-souris sur la peau.
Sombres et mystérieux, ils incarnent l’audace instinctive et la liberté sauvage.
Chaque mouvement devient un geste magique, un écho aux nuits profondes où la nature se déploie avec puissance et mystère.
Un accessoires libres et instinctifs, parfait pour composer une tenue alternative, sombre et enracinée, empreinte de mystère et de liberté.
Disponible à la commande dés maintenant!
Toutes les photos de la collection HERBES NOIRES ont été faite par ©AnthonyLegris
DATURA
HISTOIRE DE LA COLLECTION
DESCRIPTION
ENTRETIEN
MES ENGAGEMENTS
Il fut une époque où la Terre murmurait…
Ses forêts parlaient aux rêveureuses, ses vents soignaient les âmes, et les plantes maintenait la biodiversité. Et ceux qui savaient l’écouter — les sages, les sorcières, les animaux — vivaient en elle, et non contre elle.
Mais ce temps s’est désintégrer. Sous les machines, sous les lois irrationnelles et sous les chiffres dénués de sens.
On a abattu les forêts, empoisonné les rivières. Arraché les herbes qu’on jugeait "inutiles",
Et réduit la Terre à une marchandise, à un terrain à conquérir.
Alors elle s’est tue. Pour observer. Pour plonger ses racines plus loin encore, la patience la rendant de plus en plus enragée.
D'herbes vertes, ses repousses sont devenues herbes noires.
Des herbes sombres et tenaces qui poussent dans les fissures du béton et dans les forêts brûlées. Dans les cendres des illusions humaines.
Elles murmurent toujours mais d'une voix plus écrasante, plus austère.
Elles ne cherchent plus à séduire, à sauver ou à écouter. Elles sont là pour rappeler. Résister. Réveiller.
Cette collection est née de ces murmures, de ces herbes noires. Des vêtements comme des talismans. Chaque pièce est une trace de ce réveil, un frémissement du sol, une incantation textile pour ce qui est encore vivant.
HERBES NOIRES ce sont les vêtements de celleux qui choisissent encore d'aimer la Terre, quand d'autres préfèrent la détruire. C'est une forêt de tissu. Un cri doux, un sortilège que l'on porte sur soi.
A travers cette collection, La Terre reprends la parole, et sa voix dit:
"Vous me blessez, mais je repousse dans chaque fissure de vos empires. Et lorsque je répondrai…Que restera t-il de ce que vous aurez construit? Chaque racine, chaque brise, chaque orage prépare ma réponse."